Mûres122:Montages,Marisa,étudiante coincée 1
Ce n’est que peu à peu que j’ai commencé de me branler pour Marisa, étudiante de 20 ans aux longs cheveux noirs bouclés, à la bouche mince et au grand front.
Les premiers fakes de Thomas m’ont fait revoir de vieilles salopes que j’avais baisées. Je pouvais me repasser le film, comme si j’avais tourné dans « bourgeoises mûres à enculer ».
a titre d’essai, je lui ai demandé de me montrer à quoi ressemblerait Marisa en train de toucher une queue.
Accroupie dans un jardin, souriante et réservée, elle accepte de poser sa main chaste sur une verge tendue. J’ai bien fait de ne pas avoir demandé tout de suite à Thomas de me montrer Marisa pince par deux noirs, en plein gang-bang. Cela n’aurait pas été réaliste…je n’aurais pas si bien bandé.
tandis que ce sourire de grande fifille bien sage, grandie trop vite, qui veut bien refermer ses doigts fins sur une bite, puisqu’on le lui demande en insistant, c’est crédible.
Maintenant, j’ai envie du contact de la main de l’étudiante sur ma bite.
De là à vouloir me branler dans la douceur humide de sa bouche, il n’y a qu’un pas, que je franchis en quelques va-et-vient de branlette.
Je m’enferme dans les toilettes avec Marisa. Je sors ma bite. Je dois guider sa main sur ma queue.
qu’est-ce qu’elle branle mal! Qu’est-ce qu’elle est nunuche…mais c’est bon, sa main est fraîche, il me semble qu’elle va traire mon sperme de manière plus lente, mais plus profonde que si je me faisais toucher par une putain habituelle, blasée, expérimentée mais sans enthousiasme.
L’étudiante ne serre pas assez la main…il faut tout lui dire! Cela va prendre un siècle jusqu’à ce que je gicle.
Elle me branle parce qu’elle a confiance en moi, et qu’elle a besoin d’un peu d’argent.
Je ne passe même pas la main à travers son chemisier pour la peloter. Elle doit avoir de petits seins très hauts, très durs. Elle n’a pas beaucoup de formes, mais elle est assez grande. De longues jambes fines, pas spécialement excitantes.
a vingt ans, elle n’est sûrement plus vierge. Mais quel est le garçon qui est venu déversé son lait de couilles dans le fourreau étroit de Marisa? Elle parle si peu, elle est si concentrée sur ses études, que je n’imagine pas à quel moment elle se serait foutue à poil, cuisses écartées, pour se faire pilonner sa foufoune de fille à papa.
un sourire plus détendu sur l’autre fake de Thomas, celui qui la montre les jambes relevées, les pieds derrière la tête…et la bite dans le cul
« qu’est-ce que tu me fais faire, je suis dans une position bizarre, et tu m’as enfoncé ta queue dans l’anus…quelle drôle de sensation…mmh, c’est fou, quand même! Dire que je devrais travailler pour mon examen qui est dans deux jours…moi, me faire enculer! J’aime bien, j’avoue…si tu ne vas pas trop au fond…Ah, si maman me voyait! »
Si je ne regarde pas cette photo, je n’arrive pas à m’imaginer en train d’enculer Marisa. Trop improbable.
Quand je pense à mes étudiantes, j’associe une pratique sexuelle spécifique à chacune:
Prisca, brune bien en chair, robuste, un peu paysanne avec sa tresse noire qui dénote une éducation rigide, moraliste, je me vois la prendre dans une bonne saillie, sans même la déshabiller. Elle baisse sa culotte, relève sa jupe, et je m’accouple très simplement avec elle.
un jour qu’elle me disait: « comment vous remercier », je voulais répondre: « très simplement, j’aimerais te prendre, maintenant, tout de suite »
-sur la table, ça irait?
– très bien.
Je baisse mon pantalon, tandis qu’elle se débarrasse de sa culotte blanche. Elle se couche sur le dos, j’empoigne ses jambes vigoureuse comme celles d’une petite matrone qu’elle est déjà.
Je n’ai pas envie de la lécher, ni de détailler sa chatte, qui ne me fascine pas. Je vois simplement un petit buisson dans lequel je cherche tout simplement l’entrée du bout du gland, avant de me donner de l’élan à bon coups de reins.
Je regarde Prisca, qui souffle et rougit légèrement. Elle est toujours habillée, je ne vois pas ses seins. Mais nos parties sexuelles sont jointes. Je suis enfoncé dans son vagin. C’est ainsi que j’apprécie le plus cette fille banale et un peu rabat-joie: lorsque ma bite coulisse dans son vagin.
Il y a aussi Marie-Laure, assez fine, avec un long coup et un corps de garçonne. Je ne sais pas pourquoi, mais elle, je la vois debout, jambes écartées. J’imagine ses petites fesses pommelées. Je lui graisse l’oignon, et doucement, debout, je l’encule.
curieusement, je ne me vois pas en train de baiser Alice, petite brune adorable à l’oeil brillant. Par contre, il m’est facile de l’imaginer en train de pomper, les joues creusées par l’effort, comme une vraie petite salope
Idéalement, Marisa me branle, dirige ma queue vers la foufoune poilue de Prisca, prête à se faire mettre. Avant de jouir, je me retire pour visiter le trou du cul frémissant de Marie-Laure, et avant de jouir, je me retire pour inonder la bouche d’Alice, qui me pompe comme une pute.
Et bien sûr, ma vielle pute Brigitte, du haut de ses 76 ans, qui a enfin compris que c’est un peu idiot d’être jalouse, m’encourage, et me lèche le cul comme elle sait si bien le faire, toute heureuse de me sentir mes couilles durcir d’extase pendant que je me fais pomper par une étudiante.
A bientôt, pour quelques nouvelles idées cochonnes avec Marisa, sa soeur et sa maman