Une jeume joggeuse voilée

Samira, jeune beurette de 20 ans, fait son jogging matinale, elle est vêtue de ses baskets blanches, survêtement rose très moulant et hidjab bleu.
Elle emprunte tous les jours le même parcours dans la forêt.

Depuis quelques jours il y a cet homme avec son Dobermann, toujours à la même place, qui surveille et attend avec impatience le passage de Samira.

Elle sait qu’il est là mais elle fait semblant de pas le voir. Elle pourrait changer son parcours mais elle continue d’emprunter le même chemin. Le type l’intrigue. Au fond d’elle, elle ressent quand même une petite peur, une crainte…. mais la curiosité était plus fort.

Il faut dire qu’il avait un physique qui pouvait faire peur. 1m80 environ, assez corpulant étant donné sa taille, il devait avoir 60 ans, les cheveux longs et gris qu’il tenait attaché en queue de cheval.

L’inconnu attend que Samira soit à sa hauteur pour sortir par surprise de sa cachette.
Elle est surprise et n’a pas le temps de reculer ou de dévier pour l’éviter.
Elle le percute pratiquement.
Lui l’att**** par le bras.

– ouh la jeune demoiselle, vous allez bien vite.
– désolée je ne vous avais pas vu.
– ce n’est pas grave. Je vous voir courir tous les jours, vous vous tenez en forme, ça vous va très bien, vous avez un beau corps.
– euh merci …

Samira est gênée de cette dernière phrase. Que voulait il ? Il lui tenait toujours le bras. Elle commence à avoir de plus en plus de crainte de l’intention du vieux.

– c’est quoi ton nom ? Moi c’est Philippe, mais tu peux m’appeler Phil.
– je m’appelle Samira.
– il est beau mon chien ?
– oui très beau, mais il me fait
peur
– n’est pas peur, il est comme moi, il aime les jeunes femmes.

Il la tire par le bras, pour l’emmener un peu plus loin du chemin.
Elle résiste, mais sans crier pour essayer de se défendre. Elle est surtout effrayer par la grandeur du type.

– vous faites quoi ? Laissez moi.
– je te veux aucun mal. Je veux juste parler avec toi. Je n’ai jamais parlé avec de femmes voilées. Et il faut dire que cachée comme vous êtes vous faites très mystérieuses.

Sans s’en rendre compte Samira est rendue hors du chemin et hors de vue des autres coureurs. Là ou ils sont rendus plus personne ne peut les voir et les entendre.

– si tu veux tu peux caresser Box, il va aimer ça.
– vous le tenez bien !

Samira commence à caresser le chien.

– tu vois il est content, il bouge la queue.
– ah je savais pas que ça voulait dire ça
– bein c’est comme chez nous les hommes, la queue veut tout dire.

Samira relève la tête, et vois Phil, avec son bermuda et boxer aux chevilles et le sexe à l’air libre, à moitié bander.

– maintenant tu vas t’occuper de moi !
– non s’il vous plaît, laissez moi partir.
– tu partiras quand tu auras fini.

Il s’approche de la joggeuse avec sa queue. Elle recule.

– ouh la ouh la tu vas ou ?
– je veux partir. Pitié laissez moi partir.
– après que tu m’as sucé.

Samira sait très bien que si elle ne suce pas le vieux elle aura pas la paix et la possibilité de partir.
Elle ouvre sa bouche et prend la bite qui avait bien gonflé. Elle commence le va et vient et sent la bite encore grossir dans sa bouche et atteindre sa taille maximale.
Elle lui lèche le gland luisant avec le bout de sa langue.

– tu te regales, hein. Caresses moi les couilles ma petite pute.

Sous les ordres du vieux elle se met à jouer avec ses couilles.

– tu vas te déshabiller maintenant, enlèves tout sauf ton voile. Ça m’excite de baiser une voilée.
– non je ne veux pas. Vous avez pas le droit.
– je te demande pas ton avis ! Alors exécutes !

Samira s’exécute. Au fond d’elle, elle ressent de l’excitation, cette situation ou elle est complètement soumise est nouvelle pour elle.
La voilà complètement nue à l’exception de son voile.

– allonges toi dans l’herbe et tu vas continuer à me sucer.

Elle se couche dans l’herbe et Phil vient se mettre sur le côté. Elle tourne la tête et prend à nouveau la bite en bouche.
Il en profite pour lui caresser les gros seins, il lui malaxe, tire sur les tetons.

– mais ma salope tu gémis ?
– humm oui c’est bon…

Elle a à présent les jambes écartées, une queue en bouche et un vieux qui lui plotte les seins.

Sans rien comprendre elle sent que quelqu’un ou quelque chose est en train de lui lécher la chatte.
Elle relève légèrement la tête. C’était le dobermann qui est en train de goûter à Samira. La salope au lieu de fermer ses cuisses, s’écarte encore plus. La sensatiton était nouvelle pour Samira, mais elle semble tellement apprécier.
Le chien se régale de la cyprine qui coule de la moule et qui s’écoule jusqu’entre les fesses de Samira.
Elle lève le bassin pour que le chien arrive jusqu’à son petit trou. Avec ce traitement à la son premier orgasme. Des spasmes travers son corps.

– tu te regales mon chien ? c’est bien, tu me prépares le terrain. Et toi tu aimes ça, petite putain !
– c’est boooon, j’adore…

Le vieux décide de prendre la place du chien.

– allez pousses toi mon chien, je vais continuer.

Il se présente devant Samira.
La jeune algérienne est là devant lui les jambes ouvertes.
Il présente son gland devant les lèvres. Il pousse petit à petit. Samira est bien lubrifiée et la salive du chien aidait encore plus.
Sa queue était à moitié entrée. Elle gemissait de plaisir.

– tu m’excuseras de ne pas mettre de capote, j’avais pas prévu de baiser ce matin.

Il fini d’entrer complètement dans Samira. Il commence à la limer.
Elle gemit de plaisir. Il accélère le rythme. Il la défonce de plus en plus fort.
Elle parait tellement petite par rapport à la corpulence de Phil.

Il s’allonge sur le sol à son tour.

– viens t’assoir sur ma bite, ma petite chienne, tu vas me sentir bien profond.

Samira ne se fait pas prier et elle vient s’empaler sur la bite du vieux.
Elle lui faisait face. Il lui donne de gros coup de bassin. Elle gémit à chaque fois. Il lui att**** ses 2 grosses mamelles avec ses paluches et malgré la grosseur des seins de la jogeuse, ils tenaient dans les mains de Phil.

– tu aimes ça te faire défoncer par un inconnu ?
– oh oui, baises moi ! Je te voyais sale pervers me mater quand je courais.
– tu m’excites petite pute avec ton voile ! Je savais que tu n’étais pas une sainte !

Le vieux voyeur ordonne à présent à Samira de lui tourner le dos.
Elle s’exécute. Elle se positionne au dessus de la queue, la prend en main, la guide devant sa chatte et descend dessus. Il continue à la défoncer. Il l’a fait se pencher en avant. Elle s’appuie sur les tibias de Phil, ainsi il peut voir l’anus de Samira.
Sans prévenir il place son gros pouce devant cette rondelle serrée. Il décide de l’introduire directement dans le cul de la salope.
Samira surprise pousse un gros cri, de douleur au début, pour ensuite gémir de plaisir.

– tu aimes ça ma putain.
– oh oui c’est bon.
– tu reviendras me voir ?
– oh oui j’en veux encore !

Le pouce, qui avait pratiquement la taille d’une bite, entrait, sortait de ce trou. Ce sensation nouvelle pour Samira la fait basculer dans un 2eme orgasme tout aussi puissant que le premier.
En voyant le plaisir que Samira éprouve, le vieux à son tour ne peut se retenir plus longtemps, et sans prévenir, il soulève son bassin et se déverse en Samira. Il lui envoie, plusieurs gros jets, de son jus…
Les deux restent dans cette position quelques secondes en récupérant leur souffle.
Quand Samira se relève, du sperme coule d’entre ses jambes.
Elle s’essuie avec des feuilles qu’elle trouve autour d’elle.
Le vieux à son tour se met debout.
Les 2 se rhabillent.

Philippe avait enfin réalisé son fantasme de baiser une beurette voilée

– tu oublies pas, quand tu auras envie à nouveau, tu repasseras par ce chemin, je serais toujours là ! J’ai d’autres choses à te faire découvrir.
– d’accord merci…. et peut être à bientôt.

Samira reprend son jogging comme si de rien n’était mais avec le sperme du vieux voyeur en elle.

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