Le sperme et moi – chapitre 1 – partie 1
J’ai des petits seins, et j’ai toujours considéré ça comme un défaut. Surtout à l’époque de l’adolescence, quand certaines copines se mettent a avoir d’énormes trucs qui poussent, et qui monopolisent l’attention des garçons. Fallait bien compenser. J’ai un très beau cul, mais à cet âge, ils regardent que les seins.
Alors j’ai décidé de le faire remarquer autrement, en suçant des bites… J’ai commencé en 3eme, d’abord avec un, puis deux, puis trois mecs, régulièrement… Après une année, autant dire que je suçais tous les mecs le souhaitaient et avaient pris une douche le matin. Généralement, dans les toilettes, ou dans les salles de classes, lorsqu’on pouvaient y accéder sans danger de se faire griller. Au début je le faisais gratuitement, mais rapidement je l’ai fais pour 5 euros, parce que c’était de l’argent tellement facile.
Comme c’était le plus simple pour pas en mettre partout et ne pas se faire griller : J’avalais. Ça m’a tout de suite excitée, je me suis sentie spéciale. Je suis devenue la suceuse de 3eme C. Les mecs de terminale faisaient pratiquement la queue. On me surnommait la petite pute, la salope, tout ce qu’on veut. Mais en attendant les autres filles avec leurs gros nichons étaient jalouses, je monopolisais toute l’attention. J’ai continué régulièrement.
Au lycée vint les années fêtes : j’étais invité partout, sauf chez les pimbêches, et certains mecs dont la petite amie était jalouse. Dans les fêtes aussi bien sur, la salle de bain devenait vite un lieu très prisé, et pour autre chose que prendre de la drogue. Je mettais dans la douche ou la baignoire généralement en culotte et soutif, et les mecs, en général 3 ou 4 qui n’avaient pas peur du qu’en dira t-on, venaient m’arroser le visage ou se faire sucer à fond.
Plusieurs fois bien sûr, des types ont voulu aller plus loin. J’ai rapidement compris que devais avoir des amis surs avec moi, pour ne pas me faire agresser. J’ai choisi deux types de l’équipe de boxe du lycée, et ils sont devenu mon service d’ordre. En échange je leur filais un peu de mon argent, et je les suçais gratos.
Des profs ayant entendu des rumeurs m’ont envoyé chez l’assistante sociale, qui ,gênée, a vaguement essayé de savoir ce qu’il se passait : elle menaçait de prévenir mes parents si je ne m’expliquait pas. Il faut dire que les plus folles rumeurs circulaient, on racontait que j’allais dans la cité d’à côte faire des gangs bangs dans des caves. Mais c’était faux. Les mecs voulaient tous coucher avec moi bien sur, mais je suçais, j’avalais, mais je couchais pas. Devant l’assistante sociale, J’ai fais l’ingénue, j’ai parlé de jalousie et d’histoire de cœurs, ça a tellement bien marché qu’elle m’a classé comme victime de harcèlement. Avec le recul je me dis que l’histoire aurait pu être bien différente si les réseaux sociaux avaient exister alors. Heureusement, l’internet servait encore a envoyer principalement a envoyer des e-mails.
Je suçais beaucoup de bite, mais je ne laissais tolérait pas qu’on touche à ma chatte, c’était le deal. Perverse précoce, je n’ai finalement été dépucelée qu’a 17 ans comme beaucoup de mes copines. Et comme beaucoup d’entre elles, c’était par un type en vacance, qui ne connaissait pas ma réputation.
Cette réputation m’a un peu suivi ensuite à la fac. Mais je me suis calmée sur les pipes à la chaîne. J’ai pris peur aussi, à cause des maladies.Et je n’avais plus mes boxeurs avec moi . Je me contentais de deux ou trois types que je connaissais bien, et qui venaient régulièrement me sauter et se vider dans ma bouche. La vérité c’est que ce n’était plus qu’un jeu d’adolescence cherchant à se faire une place au sein de la communauté agressive des ados du lycée… Étudiante, majeure, bientôt vingtenaire et aspirant à une indépendance par rapport au carcan familial, tout devenait plus sérieux. Je voulais continuer mes jeux pervers, mais je voulais faire ça autrement. Sans savoir comment… Jusqu’au jours où j’ai rencontré celui qui allait tout changer…