Eireann
Je suis allé au garage rechercher ma voiture qui était en révision et je suis tombé sur Eireann que je n’avais pas vue depuis plus d’un an. C’est une fille du quartier dont la mère est irlandaise. C’est une belle rousse à la peau très claire qui venait jouer à la maison quand elle était enfant. Elle est devenue une superbe femme au corps plein et qu’elle ne cache pas. En discutant avec elle j’avais du mal à la regarder tant son décolleté attirait mon regard vers deux beaux seins laiteux à peine voilés. Quand je lui ai dit « tu es devenue magnifique » elle a rigolé avec un sourire charmeur qui montrait qu’elle le savait et qu’elle en jouait. D’ailleurs le garagiste qui nous a rejoints en est resté sans voix quand elle lui a demandé conseil pour sa voiture qu’elle devait déposer pour une réparation.
Je l’ai attendue et lui ai proposé de la raccompagner. Elle s’est installée, sûre d’elle comme on l’est à 22 ans, sans peur et sans complexe. Pendant le trajet elle m’a expliqué qu’elle travaillait depuis un an pour financer la suite de ses études. Elle était polyglotte et devait rejoindre une école réputée dans une autre ville. Je lui ai proposé un apéro à la maison et elle s’est installée au salon. Petit à petit elle m’a expliqué qu’elle avait largué son copain l’année précédente pour se consacrer à la préparation des concours. Puis elle avait pris un job alimentaire pour gagner de quoi payer sa future chambre. Elle ne se cacha pas qu’il manquait encore pas mal d’argent pour boucler son projet et qu’elle cherchait des moyens pour en faire rentrer plus vite. Moi un peu macho je lui dis « Avec le physique que tu as ça devrait pas être trop difficile si tu aimes jouer avec les hommes ». Elle m’a regardé avec ses yeux rieurs sans rien dire, puis elle a baissé les yeux en rougissant.
Bien que beaucoup plus âgé qu’elle, cette fille m’avait toujours apprécié. Moi je la trouvais sympa et mignonne et j’avais le sentiment qu’elle me considérait un peu comme un grand frère bienveillant. Mais ça m’a trotté dans la tête car la femme qu’elle était devenue m’interpellait. Je l’ai raccompagnée devant chez elle et en lui faisant la bise je lui ai glissé « Réfléchi, si tu veux reviens me voir, moi je suis disponible ».
Quelques jours plus tard elle a sonné alors que je me baignais tout nu dans la piscine. Je lui ai ouvert avec une serviette autour des reins. Elle était belle avec une petite robe d’été courte. Nous sommes allés sur la terrasse et je lui ai proposé de se baigner. Sans hésité elle s’est mise nue et est allée nager. Son corps était beau avec cette peau très blanche, ces taches de rousseur et cette abondante toison de feu entre ses cuisses et sous ses bras. Je l’ai rejointe pour nager aussi.
Nous nous sommes assis nus tous les deux au soleil et elle m’a demandé « De quoi tu as envie quand tu me regardes ? ». C’était bien trop évident j’ai donc tapé en touche en lui renvoyant la question. Et en me regardant sérieusement elle répondit « Avec un homme mûr comme toi j’ai très envie d’obéir, d’être soumis à ta volonté et à tes fantasmes. Je pense à toi très souvent depuis des années ». Je lui ai doucement dit « Mais quelles seraient les limites de cette obéissance ». Sa réponse était très réfléchie « Je ne veux pas que tu me fasses mal et j’ai envie que tu me traite comme ton esclave ». J’ai commencé à bander en l’écoutant.
Nous sommes rentrés dans la maison et je lui ai donné un gros god ventouse en lui disant « montre-moi ce que tu fais quand tu veux te faire jouir ». Je me suis installé dans un fauteuil. Elle colla le god au sol en plein soleil devant moi puis debout commença à se masturber avec son pubis à la hauteur de mon visage. Elle prit de sa salive pour se lubrifier et s’activa. Son autre main était active aussi entre ses fesses. Puis elle s’accroupit et s’enfila le god dans le vagin et me regarda en se baisant cuisses écartées. Le god coulissait sur toute sa longueur et elle ne put retenir des gémissements de volupté. Je l’ai arrêtée avant qu’elle ne jouisse et je l’ai emmenée dans ma chambre.
J’ai sorti une paire de menottes de la table de nuit. Elle s’est tournée sans un mot en me tendant ses bras dans son dos. Je l’ai attachée et poussée sur le lit où elle se mit sur le dos les bras sous elle. Je suis venu et je lui a caressé et pincé doucement ses tétons. Elle a spontanément écarté les cuisses. J’ai pris possession de sa chatte que j’ai explorée longuement. Elle ondulait en gémissant de plaisir et quand j’ai présenté sa bite près de son visage elle m’a sucé avec passion.
Je l’ai détaché et je lui ai ordonné. « Viens sur moi et fait comme avec le god ». Elle m’a baisé accroupie sur moi en me masturbant avec une main et en caressant mes testicules avec l’autre. Elle était magnifique et très souple. Je me suis contrôlé jusqu’à ce qu’elle jouisse intensément. Elle s’est posé à plat ventre à côté de moi cuisses écartés et bras dans le dos. Je lui ai massé les fesses en caressant sa fente de plus en plus profondément. Quand je suis arrivé au contact de son anus tout mouillé elle a soulevé son bassin et j’ai mis un doigt dans son anus si chaud. Elle s’est tourné vers moi en disant « Tu peux venir si tu vas doucement ».
Je l’ai sodomisée lentement avec tact en prenant bien mon temps pour la dilater progressivement avant de la pénétrer activement. Après quelques allers-retours elle m’a accompagné en se cambrant et en écartant ses fesses à deux mains. Elle aimait et a joui une nouvelle fois quand j’ai éjaculé en elle. Ensuite elle m’avoué « C’était bon pour une première fois, j’avais peur que ça fasse plus mal ». Puis elle a ajouté « C’est bon d’être avec un homme d’expérience, tu m’apprends ce que j’aime ».
On s’est revu tout l’été avant qu’elle ne parte étudier dans cette nouvelle ville et je l’ai aidée à s’y installer confortablement. Elle me téléphone de temps en temps et m’a dit récemment qu’elle avait deux amants. Un jeune étudiant avec elle et un plus vieux bien vicieux qui lui apprend la vie et l’aide financièrement.