Ma femme aime baiser devant moi

Ma femme Nadia me surprend toujours…

Cette soirée débute de façon un peu monotone, l’habituel habillage : collants sans démarcation ni gousset qu’elle porte à même la peau, micro jupe moulante en vinyle noir, chemisier noir transparent sous lequel ses seins dansent librement. Nadia chausse enfin de superbes cuissardes en cuir noir et enfile une veste de la même matière… Délicatement parfumée, discrètement maquillée, la voilà prête. Elle est particulièrement séduisante, un peu mondaine, un peu pute, très salope !

L’ambiance du club où nous sommes est semblable à ce que nous connaissons déjà : Des hommes seuls et pas très séduisants, de très jeunes couples qui sont là pour allumer sans consommer et des habitués avec des heures de vol au compteur…

Nous nous installons au bar. Très vite, des mains viennent se balader sur elle… Elle les repousse, certains insistent et se font alors vertement éjecter…
Un homme très BCBG, la bonne soixantaine, lui demande si elle accepte de le laisser passer son zob sur ses cuisses, il explique qu’il fantasme sur les jambes gainées et qu’il a été séduit par les siennes…
Contre toute attente, ma femme accepte et nous le suivons dans un coin.

Nadia s’installe et il se libère. Son zob est flasque mais long et épais. Doucement, il le frotte sur ses cuisses, le glisse contre ses mollets…il devient de plus en plus dur et son zob a désormais une taille exceptionnelle ! Elle lui propose de venir caresser son entrejambe, il est enchanté… Simulant le coït, il frotte sa queue contre la vulve ouverte et trempée à travers le nylon.

À plusieurs reprises, il tente de le percer de son dard mais ne parvient pas à s’enfoncer de plus de quelques centimètres. Ma femme me regarde, elle est ravagée par le plaisir et l’envie, elle me tend la main, m’invitant à la rejoindre puis, de son autre main, elle stoppe son partenaire. Elle me regarde simplement et me dit :

-Karim chéri, j’ai envie qu’il me baise devant toi ! Je veux son gros zob en moi, sans rien !

-Comment ça, sans rien ?

Je ne comprends pas mais l’homme affirme :

-Ne vous inquiétez pas, je suis parfaitement sain !

C’est irréel, je ne sais pas quoi répondre. Alors, elle se lève et retire son collant puis se repositionne sur le dos, les jambes ouvertes et levées, sa vulve est béante, dégoulinante. Elle me prend la main au moment où le gros zob la prend. Je le vois progresser en elle, lentement, elle se tend, se cabre et dans un grand cri, elle jouit…

Lui reste immobile, il la laisse reprendre son souffle puis se met, doucement, à la besogner. A chaque fois, il sort complètement et replonge en elle, son gland est luisant de mouille, sa queue me semble plus grosse qu’avant, elle est tendue, bandée comme la corde d’un arc.

Régulièrement, il écrase son gland contre le clitoris qui suinte. A chaque poussée, une vague de plaisir semble rouler dans son ventre. À chaque poussée, un bruit de clapotis se fait entendre. Ma chérie ne dit rien, elle râle de plaisir, grogne, elle lui demande d’aller plus loin puis s’extasie en lui annonçant qu’elle le sent contre son utérus. C’est alors qu’un second orgasme la ravage, elle se tord, ses mains se crispent, une sur ses seins, l’autre sur son clitoris…Elle crie…

Lui est toujours tendu, droit, la queue raide, satisfait… Il la regarde d’un regard agressif. Il lui laisse reprendre ses esprits…

-Je veux que tu m’encules avec ton gros zob ! Fais-le devant mon cocu !!!

Je tombe de haut. Elle pratique la sodomie mais toujours au prix d’une longue préparation. Et jusqu’à maintenant, il était convenu que cet orifice m’était réservé.

-Je veux que tu me baises le cul et que tu te vides en moi !!!

Je ne sais plus que dire, je n’existe plus. A force de bander, ma queue est douloureuse. En d’autres circonstances, je lui aurais mis dans la bouche, mais là, je me sens de trop. Pas seulement parce que ce mec a la queue d’un âne et l’endurance d’un marathonien mais aussi et surtout parce qu’il est en train de baiser ma femme sans capote et qu’elle s’apprête à lui ouvrir son cul pour qu’il se déverse dedans !

Elle a déjà baisé sans capote. Des mecs se sont parfois répandus en elle mais il s’agissait de maris tranquilles, moyennement montés.

Plongé dans mes réflexions, je reprends mes esprits alors qu’elle se met en position. Son œillet est prêt. L’homme déchire un sachet de lubrifiant et s’en enduit la queue…Du gland jusqu’à la base…

Je m’inquiète : va-t-il tout lui mettre ?

Un second sachet est répandu sur l’entrée de l’orifice convoité, juste en dessous, sa chatte est béante, ses lèvres gonflées de plaisir et un long filet de mouille s’en échappe… Il pose son gros gland violacé et d’une poussée, s’enfonce de 5 ou 6 cm, elle râle, grogne…
Après une petite pause, il poursuit lentement sa progression jusqu’à ce que son pieu de chair disparaisse totalement ! Il reste alors immobile, planté en elle…

-Karim chéri, je sens bien son zob dans mon cul ! Mon dieu que son zob est gros ! Beaucoup plus gros que le tien ! Quelle différence entre sa matraque et ton petit zizi !

J’ose tripoter sa chatte, elle est trempée, tellement ouverte que je pourrais y glisser ma main, mais elle me rejette :

-Laisse-moi chéri, je veux sentir ce qu’il fait dans mon cul !!!

Et pour cause, il a commencé à bouger…de petits mouvements d’avant en arrière puis ils s’intensifient, gagnent en intensité et en amplitude. Désormais, il ressort jusqu’à la base du gland pour replonger en elle, son cul est ouvert, dilaté.
Il se met à la pilonner de plus en plus fort, de plus en plus vite. Ses seins bougent en cadence, s’entrechoquent, ses tétons sont tendus, leurs peaux claquent l’une contre l’autre quand il envahit brutalement ses reins. Elle passe des gémissements aux cris puis explose dans un râle rauque, les yeux révulsés, elle jouit en lui criant :

-Baise-moi fort, plus fort, encule-moi devant mon mari lopette !!!

Lui aussi, d’un coup, se tend, longuement…je vois des contractions dans son bas-ventre, je sais qu’il se déverse en elle, ça me rassure car je sais que c’est terminé…Mais c’est long, très long, je ne peux éviter de penser à tout ce sperme qu’il répand en elle !

-Oh mon chéri, je sens tout, je sens son jus, c’est chaud !

Il sort d’elle avec un bruit de succion, son anus est violet, boursouflé. En quelques secondes, un liquide épais s’échappe et commence à couler…

Enfin, elle me regarde :

-Karim chéri, tu devrais nettoyer !

Je prends une boite de mouchoirs en papier…

-Non chéri, pas comme ça !

Elle se lève, me fait m’allonger sur le matelas et vient s’asseoir sur mon visage. Je bouffe sa mouille mélangée au jus de son amant, je suis dégouté mais ma langue ne peut s’empêcher de fouiller en elle…

-Oui comme ça mon doux toutou ! Bois et savoure le sperme de ton cocufieur !

Puis, il est temps de se séparer…Du moins, c’est ce que je pense…

-Je m’appelle Ahmed, j’ai rarement baisé une femme aussi séduisante et j’ai envie de te revoir. On peut se retrouver chez moi de temps en temps…Généralement, les femmes refusent que je les sodomise mais toi, tu es une perle rare ! D’ailleurs, veux-tu me faire plaisir ?

-Bien entendu ! Mais à condition que mon mari soit présent !
-Ok, pas de problème. Ton cocu peut assister.

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