Une visite à Paris et tout ce qu’il s’en
J’ai longtemps discuté avec une américaine avec qui le courant passait bien. On s’écrivait par message et j’adorais lui envoyer des textes érotiques pour la faire frissonner de désire .
A force de l’imaginer dans pleins de situations différentes j’avais fortement envie de sentir sa peau contre la mienne.
Un jour elle passe sur Paris pour les vacances, on en profite pour se rencontrer. On visite Paris ensemble, je lui montre les endroits ou je traîne un peu caché des touristes . On discute de nos vies. Mais déjà je sens qu’on se dévore du regarde. La tentation est déjà forte.
On décide de rejoindre l’hôtel que j’avais réservé pour l’occasion. Dès que la porte de la chambre claque on se saute dessus fougueusement. Nos corps parlent désormais pour nous. Mes mains glissent sur ses vêtements et rapidement s’immiscent dessous. Sa peau est douce et chaude. Mes sens sont exacerber par la situation. Depuis le temps que nous en parlions..
La frustration rend le moment présent bien plus intense.
Je lui enlève ses vêtements tout en gardant les miens. Elle est à présent en sous vêtement à ma merci.
Je lui glisse à l’oreille « If you say yellow, I stop everything. » puis je l’embrasse sur le front. Greisy me répond un sourire entendu et complice.
Je passe ma main sur sa gorge en serrant légèrement et le regarde intensément dans les yeux. Je suis fous de désire à la voir ainsi sans défense devant moi. Mon autre main descend sur sa peau, se glisse sous sting. Je passe doucement sur ses lèvres. Elle est trempée d’excitation. Mes doigts la caresse doucement, je sens son souffle s’accentuer dans mes oreilles. Ses yeux trahissent son état.
Je l’embrasse, lui mord les lèvres, la lèche avec envie.
Je la pousse sur le lit. « Met toi a 4 pattes les fesses face à moi. » lui ordonnais-je.
Elle s’exécute docilement. Je profite de la vue qu’elle m’offre. Ses fesses sont sublimées par son string. Je suis au ange.
Je lui caresse doucement les jambes puis les fesses pour faire durer le plaisir. Je sors un couteau de ma poche et je laisse le plat de la lame glisser sur dos.
Greisy comprend immédiatement ce que c’est. Le contact froid,l’excitation mêlée avec la peur la fait gémir sans qu’elle puisse se contrôler.
Je monte au dessus d’elle et je lui susurre à l’oreille « Ce soir tu es miennes. » D’un coup sec je tranche son soutient gorge. L’élastique claque sur la peau. Elle laisse échapper un cris. Je jubile de plaisir.
J’embrasse chaque parties de son corps. Ma langue goutte sa peau avec avidité. Mes dents se plante en elle ici et la lui laissant une empreinte rouge. Je passe le tranchant de la lame sur ses fesses puis je coupe son sting. Elle est désormais totalement nue. Sans défense face à ma perversité. La lame continue son chemin vers son sexe. La lame est vite trempée de sa mouille. Je remplace le couteau par ma langue. Son clitoris est gonflé de désir. Elle gémit instantanément. J’insère 1 puis 2 doigts dans son vagin et la baise ainsi en prenant bien soin de lui procurer un maximum de plaisir. Ma langue continue à jouer avec son bouton de plaisir. De temps en temps je lui claque les fesses ce qui l’excite énormément.
« Je peux te caresser jusqu’à l’orgasme,mais tu sera s fouettée.Sinon je m’arrête avant. Que préfères tu ?» lui proposais-je.
« Tu me fouetteras mais je t’en pris ne t’arrête pas.. » Me supplia t’elle haletante.
Elle se contrôle pour ne pas exploser trop rapidement. Mais l’excitation est trop grande. Ses gémissements se font de plus en plus fort et bestiale. Elle ne peut s’empêcher de bouger.
Ma tête est enfoncé dans ses fesses. Je peux profiter pleinement de ses odeurs. J’adore sentir son sexe, cela m’enivre.
Après quelques minutes de ce traitement elle jouit en se tordant de plaisir.
Je brûle d’envie de la pénétrer tout de suite mais je me contrôle. Je veux faire durer la torture..
Je fouille mon sac pour chercher le fouet. « Tu as bien profité mais maintenant tu dois être punis » lui dis je. Elle acquiesce, soumise, tout en reprenant son souffle. Je passe le fouet sur son corps. Elle sait ce qu’il l’attend. Je l’att**** par les cheveux et l’embrase sauvagement. Je retourne dernière. Je fais durer le moment. Le fouet se promène sur son cul bien tendu vers moi.
D’un coup j’abats le premier coup lui arrachant un cri. Une trace rouge apparaît immédiatement sur ses fesses. Je prend tout mon temps. Elle ne sais pas quand va arriver le deuxième coup. Je laisse le fouet glisser sur son sexe. Le contact avec son clitoris encore sensible la fait frémir.
Puis je lui assène un deuxième coup. Le cuir claque sur ses fesses bien rebondi. Je continue ce jeu jusqu’à ce que son cul soit bien marqué. Je la sens épuiser par tout ces sensations. Mais elle en veut encore. Des gouttes coulent le long de ses cuisses.
« Retourne toi, allonge toi sur le dos. » lui ordonnais- je. Je me jette sur elle. Je l’embrasse partout. Mes dents se plantent sur ses tétons. Elle m’aide à me déshabiller. Je n’en peux plus. Je plonge mon sexe dans le sien. Le plaisir envahit l’intégralité de mon corps. Je l’embrasse fougueusement tout en la baissant sans retenu. Je ne peux réprimer mes cris de plaisir. J’empoigne son cou et je serre jusqu’à ce qu’elle ai du mal à respirer.
« T’es vraiment une bonne salope. » Lui dis-je pour la complimenter. Elle me regarde avec défis. Je la gifle puis l’embrasse à nouveau. Chaque coup de reins lui arrache un cri de plaisir. Bientôt je jouis comme j’avais je n’ai connu cela. Mon sperme vient souiller son si beau corps. Elle est magnifique ainsi.
On s’écroule tout les deux de joies en se faisant des caresses jusqu’à sombrer d’épuisement.