LA CONFRERIE Ch4 piège, punition, entraînement
LA CONFRERIE Ch4 piège, punition, entraînement
Dans la nuit, la sensation de gène causée par le plug réveille Jess plusieurs fois. Il essaye bien de l’enlever mais Marika a pris la précaution de bloquer la molette avec un cadenas ! Au matin c’est Donatien qui vient le sortir de sa cellule pour le cérémonial du matin. Jess est surpris d’être seul dans la salle de douche.
Donatien lui explique que les autres prisonniers sont soit déjà partis soit n’ont pas passé la nuit là. Il semble en veine de confidence et explique à Jess tandis qu’il se lave et prend son lavement que Marika n’a pas toujours été dominante, elle a eu à faire à un personnage dans ton genre dit-il qui la maltraitait. Heureusement pour elle il a été repéré par la confrérie comme un esclave potentiel et enlevé puis séquestré dans une des maisons de la Confrérie. Plus tard Marika ayant été invitée à venir le voir et se venger de lui est devenue telle qu’elle est maintenant et a décidé de rester au service de la confrérie.
Jess se dit que Donatien est plutôt de son côté à la façon dont il parle et se risque à des commentaires sur les filles qui feraient bien de rester à leur place et sur les garces qui l’ont séquestré avant de le livrer à la Confrérie. Mal lui en a pris ! Marika qui a pu entendre toute la conversation depuis la cellule voisine surgit furieuse. « Tu as encore tes sales idées dans la tête à ce que je viens d’entendre ! » Jess très surpris comprend en voyant le sourire de Donatien qu’il s’est fait berner et que c’était en fait un plan concerté pour le tester.
D’une gifle magistrale, Marika envoie Jesse au sol et sans lui laisser le temps de réagir le traîne par le collier jusque dans une salle voisine où elle le suspend par les poignets à une chaîne qui pend du plafond puis lui place une barre d’écartement aux chevilles. Cela fait, elle débloque la molette du plug et le dilate au maximum.
Elle saisit un chat à neuf queues accroché au mur et le montre de près à Jess « Tu vois ces griffes métalliques au bout de chaque lanière ? Imagine ce qu’elle vont faire sur ta peau ! » Elle commence à fouetter méthodiquement Jess sur le dos, le ventre, les cuisses. Elle appuie au maximum la force de ses coups et la peau de Jess ne tarde pas à être striées de longues traînées sanguinolentes tandis qu’il hurle de douleur à chaque coup qui arrive. Et à chaque coup Marika commente « celui là c’est pour la fille que tu as fait souffrir, celui là pour les garces comme tu ose dire, celui là pour moi … »
Elle continue à frapper Jess bien après qu’il n’y ait plus un pouce de peau intact. Jess ne hurle même plus, il sanglote, ses larmes coulent Il est près de s’évanouir lorsque Marika arrête enfin. Elle raccroche le fouet au mur, et revient avec trois pinces dentées réglables reliées par des chaînettes et un écarteur buccal. Elle place d’abord l’écarteur buccal ouvert au maximum puis tire sa langue hors de la bouche et y place une des pinces. Les deux autres pinces sont ensuite placées sur chacun de ses tétons avec la pression au maximum. La longueur des chaînettes fait que la langue de Jess est tiré vers le bas et les tétons vers le haut. « Médite sur ton sort et les idées tordues que tu as dans la tête, vermine ! Et dis toi bien qu’a partir de maintenant ici ça va être un enfer pour toi, compte sur moi ! »
En début d’après midi, Marika revient, inspecte avec un plaisir évident les multiples traces de son travail du matin. Elle enlève les trois pinces et s’amuse à tirer et pincer les tétons hypersensibles de Jess qui pousse des hurlements. Elle s’arrête à regret « J’aurais bien continué un peu ce petit jeu, connard mais on a reçu le résultat de tes examens, tu es ‘clean’ c’est déjà ça … ton entraînement va pouvoir commencer … »
Elle enlève la barre d’écartement qu’elle remplace par une courte chaîne puis le décroche et attache ses poignets dans le dos. « Allez avance ! « Jesse a remarqué qu’il y a un lavabo dans la pièce et il a tellement soif et sa langue est si douloureuse à cause de la pince que malgré sa réticence il se hasarde à demander « Maîtresse, est-ce que je peux parler ? » Marika note avec satisfaction qu’il a bien enregistré de ne pas parler sans y être invité. « Vas-y toujours … » « Pardon , Maîtresse mais est-ce que vous auriez la bonté de me donner un peu à boire ?» Le ton obséquieux utilisé ne plaît pas beaucoup à Marika « Tiens tu es devenu poli maintenant, c’est nouveau ! Tu as de deux minutes pour boire, pas plus ».
Comme il ne peut se servir de ses mains, elle ouvre l’eau « Débrouille toi comme tu peux » Jess va à petits pas vers le lavabo et réussit tant bien que mal à absorber le maximum de ce liquide rafraîchissant. Marika lui laisse les 2 minutes promises puis ferme l’eau « Allez ça suffit tu as assez bu, avance ! » Jess se dit que tenter de se concilier les bonnes grâces de Marika ne coûte rien et répond « Oui, Maîtresse, merci de votre bonté, Maîtresse ! » C’est raté ! « N’en fait pas trop non plus, je suis sûre que tu n’en penses pas un mot ! Avance, on a assez perdu de temps…» Elle le pousse hors de la pièce pour le faire entrer dans la pièce voisine.
L’esclave « O » que Jesse à déjà vue est attachée par le collier à un anneau près de la porte. Marika attache Jess à un anneau voisin et ressort de la pièce. Jess a tout le temps d’examiner le mur en face de lui Il est garni d’étagères et de crochets. Sur une étagère est rangé tout un assortiment de plugs, sur l’autre des godes, il y a vraiment toutes les formes dont certaines dont Jesse n’aurait même pas soupçonné l’existence ! Il y a aussi toutes les tailles et certains plugs ou godes paraissent vraiment monstrueux ! Sur l’étagère voisine une rangée de flacons Un peu plus loin, sur une autre étagère Jess voit une série de bâillons et écarteurs ainsi que d’autres instruments dont il ne devine pas l’usage. Aux crochets pendent d’autres bâillons et des harnais. Un peu plus loin c’est une panoplie complète de fouets, paddles, cravaches qui est accrochée. En dessous une série de cannes dans une haute corbeille.
Marika revient « Aujourd’hui début de ton entraînement en compagnie de cette esclave». Il y a deux pilori fixés au plancher de la pièce et des machines à baiser. Marika commence par la jeune esclave. Elle règle le pilori à sa taille. Elle l’installe en levrette, chevilles et poignets pris dans les bracelets en acier du pilori, cou pris dans un collier au bout de sa tige, elle rapproche une machine à baiser et va choisir un gode et un flacon sur l’étagère. Elle fixe le gode à la machine, lubrifie le trou du cul de l’esclave avec le contenu du flacon et introduit le gode dans le trou offert. Elle met la machine en route. Le gode commence ses va et vient dans le cul de l’esclave. Marika pose un bâillon à anneau sur la bouche de l’esclave et rapproche une autre machine dont elle introduit le gode à moitié dans la bouche grande ouverte.
Elle installe Jess de la même façon sur l’autre pilori… « Pour toi je commence avec des petits godes…» précise-t-elle. Il a pourtant l’impression que le gode qu’elle choisit est énorme. « Mais pour toi pas de lubrifiant ! » Elle présente le gode devant son petit trou et pousse d’un coup. Il sent le gode anal forcer le passage de son anus et pénétrer profondément dans son cul. Il pousse un hurlement. Avec un sourire de satisfaction, elle met la machine en route. Jess à l’impression que le gode le déchire à chaque va et vient.
Comme pour l’autre esclave elle lui met un anneau écarteur dans la bouche et place une machine à goder devant sa bouche. Le gode est à peine entré à moitié que Jess a le sentiment qu’il lui emplit la bouche et lui donne des nausées.
Marika procède à quelques réglages sur les machines. Les fausses couilles viennent cogner contre les fesses des deux esclaves à chaque va et vient. Côté bouche ce n’est pas mieux, le gode vient taper contre le fond de leur gorge.Des filets de bave ne tardent pas à apparaître au coin de leurs bouches !
Marika fait quelques programmations sur les machines et quitte la pièce après avoir dit en riant « J’ai réglé les machines pour qu’elles changent de vitesse régulièrement et fassent des arrêts de temps à autre, esclaves, un peu de variété comme ça vous n’aurez pas le temps de vous ennuyer ! »
De fait les machines changent de rythme assez souvent, s’arrêtent quelques secondes parfois avec les godes bien au fond des culs et des bouches avant de repartir. Au bout de plusieurs heures de ce traitement, Jess à très mal au cul, la bave continue à couler au coin de sa bouche et le gode qui vient frapper le fond de sa gorge continue à lui donner la nausée. Pour l’autre esclave ce n’est pas mieux et ses larmes coulent.
Lorsque Marika revient elle s’occupe d’abord de la jeune esclave en faisant passer le gode de sons cul à sa chatte. « Pour toi, comme tu n’as qu’un trou à l’arrière changement de programme » dit-elle à Jess. Elle le détache du pilori mais lui laisse l’anneau buccal. Elle lui met une laisse au collier et l’entraîne hors de la pièce. Jess a bien du mal à suivre avec ses chevilles entravées, ses poignets liés dans le dos et son cul qui lui fait énormément mal.
Elle le fait sortir de la dépendance et se dirige vers la grande maison bourgeoise un peu plus loin. C’est la première fois que Jess sort depuis son arrivée ! Dans l’allée qui mène à la maison, il trébuche plusieurs fois et tombe. Marika le relève sans douceur et se moque de lui « Et en plus tu n’es même pas capable de marcher sans tomber ! » Traînant Jess derrière elle, Marika parcourt des couloirs, emprunte un escalier que Jess a beaucoup de peine à gravir. Elle s’arrête devant une porte et frappe. Une voix d’homme l’invite à entrer. Un homme masqué les attends dans la chambre. « Voici le nouvel esclave O14, Monsieur » dit Marika.